Nom d’un cloporte… Forte de votre longue, trop longue à votre goût, expérience, vous vous précipitez dans le cuisine : non point pour vous consolez à grand renfort de chocolat bien noir, quoique vous pourriez en avoir besoin, mais pour vous munir d’armes fatales. Le vinaigre blanc. L’huile d’olive. Le rouleau de film transparent. Vous êtes devenue folle ? Chamboulée par la récidive de l’invasion pouesque ? Que nenni. Retour précipité dans la salle de bain. Sourde aux protestations de Choupinet vous lui faites un shampooing au vinaigre blanc qui aurait, si vous en croyez ses cris perçants, le léger inconvénient de brûler ses yeux pers : vous attendez ses trente ans pour réduire à néant un énième rêve et lui annoncer qu’ils sont plus vraisemblablement noisette ; il a trop souffert en apprenant la supercherie de la petite souris. Donc Choupinet hurle. Vous continuez à l’asperger de vinaigre, indifférente au tapage et aux heures de psychanalyse que vos traitemen...